đœ. đłđ đđđđđđđđđ đđ đđđđ đđđ đ đ đđđđđđÌđđđ.
- Pascal Roux
- 27 oct.
- 1 min de lecture
La nostalgie est un anesthĂ©siant Ă©lĂ©gant. On se souvient dâun monde plus lent, plus lisible, plus courtois.Â
On croit quâil reviendra si lâon attend assez.Â
Il ne reviendra pas.
Le rĂ©el est complexe, impermanent, parfois brutal.Â
La bonne nouvelle, câest quâil est plein de prises, d'opportunitĂ©s.
La nostalgie vole deux choses : le temps (on attend) et la dignité (on subit).Â
La stratĂ©gie rend les deux : le temps (par lâanticipation des seuils) et la dignité (par la reprise dâinitiative).
En peu de mots, mon travail : rĂ©tablir, soutenir et renforcer les manĆuvres.
>ÌÌ par la Gouvernance. La nostalgie dit âAttendonsâ. La gouvernance robuste dit âOn agit."
>ÌÌ par la StratĂ©gie. On cesse de chercher la plaine dâhier ; on apprend lâarchipel : cartes fines, options, alliances.
>ÌÌ par la PrĂ©sence du leader. La nostalgie Ă©puise (rĂ©sistance passive). La prĂ©sence apaise (acceptation active + arbitrage net).
#FeelTheShift, câest le moment oĂč lâon comprend que lâattente est plus risquĂ©e que lâactionÂ
Alors on recompose lâentreprise : on arme la carĂšne (bouclier) et on choisit sa route (boussole).Â
Ce nâest ni hĂ©roĂŻque ni romantique. Câest professionnel.Â
La nostalgie raconte le passé ; la stratégie dessine la suite.





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